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Nous cherchons des technologies, mais aussi des personnes avec une vision

Avec le fonds Smart Energy pour l’innovation, Energie 360° soutient des start-up depuis dix ans. A l’occasion de cet anniversaire, la fondatrice Ruth Happersberger revient sur les réussites des dix dernières années.

Publication le 4 mars 2025 Durée de lecture 5 min

Madame Happersberger, vous avez créé le fonds Smart Energy pour l’innovation il y a plus de dix ans. Comment ce projet a-t-il vu le jour?

Energie 360° participe activement à la transformation du système énergétique. Nous avons vite compris que nous ne pouvions pas compter uniquement sur les ressources et les idées internes pour développer de nouvelles solutions. Nous avons donc ouvert notre processus d’innovation dans le sens d’une approche Open Innovation. Nous avons délibérément choisi de travailler avec des partenaires externes. Le déclencheur concret du fonds pour l’innovation a été mon premier contact avec une start-up dans le domaine du Power-to-Gas. J’ai été fascinée par les fondateurs·trices et leur mentalité. J’ai toutefois rapidement compris que les structures de participation classiques ne sont pas adaptées aux start-up.

Pour quelle raison?

Une entreprise bien établie comme Energie 360° fonctionne différemment d’une start-up. Les fondateurs·trices ont besoin d’avoir confiance en l’avenir, en l’équipe et en leur vision. C’est pourquoi, chez Energie 360°, nous voulions dès le départ regrouper les start-up dans une structure séparée afin de collaborer avec elles sur un pied d’égalité. C’est ainsi qu’est né, il y a dix ans, le premier fonds de capital-risque d’entreprise dans le domaine de l’énergie en Suisse. Avec le fonds Smart Energy pour l’innovation d’Energie 360°, nous avons pris les devants. Il s’agissait également pour nous d’une expérience pour savoir si notre projet allait réussir. Nous nous sommes sentis dans la peau de fondateurs·trices.

Qu’est-ce qu’un fonds de capital-risque d’entreprise?

Le capital-risque est un capital que les investisseurs·euses mettent à la disposition de start-up innovantes afin de financer leur croissance et leur développement et de participer ainsi à leur succès financier. Le fonds Smart Energy pour l’innovation est plus que cela: c’est un fonds de capital-risque d’entreprise. La force d’innovation d’une entreprise établie, ici Energie 360°, est ainsi renforcée par des collaborations avec des start-up. L’engagement dans la start-up de l’EPFL Insolight, qui produit des modules solaires pour l’agriculture et les surfaces d’exploitation agricole, constitue un exemple de coopération exemplaire.

En quoi consiste exactement le fonds Smart Energy pour l’innovation?

Les start-up sont souvent confrontées au défi de développer leur technologie, mais aussi de la faire évoluer. Nous les aidons à remettre en question les modèles commerciaux et à structurer l’entreprise de manière professionnelle. L’équipe fondatrice bénéficie donc non seulement de notre financement, mais aussi de la possibilité de collaborer avec nos expert·e·s. De plus, elle a accès à notre réseau et à notre portefeuille de clientèle. Cette véritable valeur ajoutée nous permet d’occuper une position forte sur le marché et dans le milieu du capital-risque et des start-up.

Vous évoquez la valeur ajoutée qu’Energie 360° retire de ces partenariats. Pouvez-vous en dire plus?

Grâce au fonds Smart Energy pour l’innovation, Energie 360° bénéficie d’un accès direct à des technologies innovantes et à de nouveaux modèles commerciaux. Un exemple est Insolight, une start-up pour l’agrivoltaïque. Grâce à cette collaboration, Energie 360° a pu intégrer cette technologie dans son propre portefeuille de solutions photovoltaïques. Autre exemple: la solution de la start-up Stabl Energy, qui utilise des batteries de seconde vie comme moyen de stockage et que nous avons intégrée au lotissement Arrivo à Kloten. Nous attendons également beaucoup de ce projet pilote. Le grand défi de l’utilisation de grandes batteries de stockage réside dans le fait qu’elles apportent certes la flexibilité de stockage souhaitée, mais qu’elles sont encore chères. Si nous parvenons à réduire les coûts technologiques grâce aux batteries de seconde vie de Stabl Energy, ce sera un grand pas en avant. Ce ne sont là que deux exemples de synergies technologiques qui renforcent notre culture interne de l’innovation et accélèrent ainsi notre propre transformation.

Chaque année, l’équipe de Ruth Happersberger analyse environ 1000 modèles commerciaux de start-up.

Comment votre équipe trouve-t-elle une start-up? Ou est-ce plutôt la start-up qui vous trouve?

Notre équipe analyse chaque année environ 1000 modèles commerciaux innovants. Nos réseaux sont particulièrement importants à cet égard. Nous sommes étroitement liés aux universités, aux investisseurs·euses et à d’autres entreprises. Aujourd’hui, de nombreuses start-up viennent aussi directement nous voir, car notre réseau au sein du milieu du capital-risque et des start-up fonctionne très bien.

Selon quels critères Energie 360° investit-elle?

Nous investissons dans des start-up qui ont un produit prêt à être commercialisé ou du moins une technologie très avancée, et ce dans nos domaines d’innovation stratégiques. Nous recherchons donc des entreprises qui font avancer la transition énergétique, redéfinissent l’efficacité énergétique, révolutionnent la mobilité durable et accélèrent l’élimination du CO₂.

Au final, l’équipe de fondateurs·trices joue également un rôle central: nous devons sentir qu’elle partage une vision commune, qu’elle réagit avec souplesse aux défis et qu’elle est prête à apprendre en permanence.

Comment reliez-vous les start-up aux besoins d’innovation d’Energie 360°?

Nous sommes en contact étroit avec nos services spécialisés. Ils nous font part de leurs besoins de manière ciblée, par exemple dans le domaine des technologies de stockage ou de la réduction du CO₂. Nous pouvons ainsi rechercher les start-up qui nous conviennent. La start-up Stabl Energy mentionnée plus haut en est un exemple: notre besoin interne en matière de solutions de stockage innovantes a rencontré ici une start-up prometteuse.

Le comité d’investissement: qui participe aux décisions?

En tant que présidente, Ruth Happersberger a fait en sorte que le comité d’investissement soit interdisciplinaire. Cela garantit une évaluation fondée des start-up.

Les autres membres du comité d’investissement sont:

  • Christian Schaffner, directeur de l’Energy Science Center à l’ETH Zurich. Il apporte son expertise scientifique et évalue les innovations technologiques.
  • Monika Krüsi, membre du Conseil d’administration d’Energie 360°. Elle s’assure que les investissements sont judicieux d’un point de vue financier et stratégique.
  • Alexander Fries, investisseur suisse jouissant de plus de 20 ans d’expérience dans la Silicon Valley. Il apporte de précieuses connaissances issues du domaine du capital-risque, notamment en matière de mise à l’échelle, de stratégies de marché et de distribution.

Le comité examine les start-up sous différents angles (faisabilité technologique, potentiel de marché, croissance financière, adéquation stratégique) et prend ses décisions par consensus.

Y a-t-il aussi eu des échecs?

Bien sûr. Parfois, les start-up se développent plus lentement que prévu ou le marché évolue. Prenons un exemple: nous avons investi dans une start-up qui avait développé une solution Smart Grid innovante pour les communes. La technologie était bonne, mais difficile à mettre en œuvre en Suisse. L’entreprise a par la suite été rachetée par un fournisseur d’énergie allemand, où l’environnement de marché convenait mieux.

Au bout de dix ans, quel est l’avenir du fonds pour l’innovation?

Notre succès montre que nous sommes sur la bonne voie. C’est pourquoi nous continuons, tout en réfléchissant constamment à notre stratégie et à nos critères d’investissement. De nouvelles formes de coopération avec d’autres investisseurs·euses, des universités et des start-up sont également envisageables. Bref, nous restons ouvert·e·s à la nouveauté, comme il se doit pour un fonds pour l’innovation.

Qu’avez-vous appris personnellement au cours des dix dernières années?

Travailler avec des start-up et les personnes qui sont impliquées est pour moi une source d’inspiration. J’ai appris l’importance de l’ouverture d’esprit et de la capacité d’adaptation. La dynamique dans l’environnement des start-up étant élevée, la flexibilité est une nécessité. J’aime construire des ponts entre les start-up, les entreprises établies et les investisseurs·euses.

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  • Frau Happersberger, vor über einem Jahrzehnt haben Sie den Smart Energy Innovationsfonds ins Leben gerufen. Wie kam es dazu?

    Energie 360° gestaltet die Transformation des Energiesystems aktiv mit. Uns war früh klar, dass wir für die Entwicklung neuer Lösungen nicht ausschliesslich auf interne Ressourcen und Ideen setzen können. Deshalb haben wir unseren Innovationsprozess im Sinne von Open Innovation geöffnet. Wir entschieden uns bewusst für die Zusammenarbeit mit externen Partnern. Der konkrete Auslöser für den Innovationsfonds war mein erster Kontakt mit einem Start-up im Bereich Power-to-Gas. Ich war fasziniert von den Gründer*innen und ihrer Denkweise. Schnell wurde mir allerdings klar, dass klassische Beteiligungsstrukturen für Start-ups nicht geeignet sind.

    Weshalb?

    Ein etabliertes Unternehmen wie Energie 360° tickt anders als ein Start-up. Gründer*innen brauchen Vertrauen in die Zukunft, in das Team und in ihre Vision. Deshalb wollten wir bei Energie 360° Start-ups von Beginn an in einem separaten Gefäss bündeln und mit ihnen auf Augenhöhe zusammenarbeiten. So entstand vor zehn Jahren der erste Corporate-Venture-Capital-Fonds im Energiebereich in der Schweiz. Mit dem Smart Energy Innovationsfonds von Energie 360° spurten wir vor. Es war für uns ebenfalls ein Experiment, ob wir mit unserem Vorhaben Erfolg haben. Wir haben uns gefühlt wie Gründer*innen.

    Was ist ein Corporate-Venture-Capital-Fonds?

    Venture Capital ist Kapital, das Investor*innen innovativen Start-ups zur Verfügung stellen, um deren Wachstum und Entwicklung zu finanzieren und somit auch an deren finanziellem Erfolg zu partizipieren. Der Smart Energy Innovationsfonds ist mehr: ein Corporate-Venture-Capital-Fonds. Damit wird die Innovationskraft eines etablierten Unternehmens – hier Energie 360° – durch Kollaborationen mit Start-ups gestärkt. Ein exemplarisches Beispiel für eine Kooperation bietet das Engagement in das EPFL-Start-up Insolight, das Solarmodule für die Landwirtschaft bzw. landwirtschaftliche Nutzflächen entwickelt.

    Was genau macht den Smart Energy Innovationsfonds aus?

    Start-ups stehen oft vor der Herausforderung, ihre Technologie nicht nur zu entwickeln, sondern auch zu skalieren. Wir helfen ihnen, Geschäftsmodelle zu hinterfragen und das Unternehmen professionell zu strukturieren. Das Gründer*innenteam profitiert also nicht nur von unserer Finanzierung, sondern auch von der Möglichkeit, mit unseren Expert*innen zusammenzuarbeiten. Zudem erhalten sie Zugang zu unserem Netzwerk und unserem Kund*innenportfolio – ein echter Mehrwert, der uns im Markt und in der Venture-/Start-up-Szene eine starke Position verschafft.

    Sie sprechen den Mehrwert an, den Energie 360° aus diesen Partnerschaften zieht. Können Sie näher darauf eingehen?

    Energie 360° erhält durch den Smart Energy Innovationsfonds direkten Zugang zu innovativen Technologien und neuen Geschäftsmodellen. Ein Beispiel ist Insolight, ein Start-up für Agri-Photovoltaik. Durch die Zusammenarbeit konnte Energie 360° diese Technologie in das eigene PV-Portfolio integrieren. Ein anderes Beispiel: Die Lösung des Start-ups Stabl Energy, das Second-Life-Batterien als Speicher nutzt, haben wir in die Überbauung Arrivo in Kloten eingebaut – auch von diesem Pilotprojekt versprechen wir uns viel. Die grosse Herausforderung beim Einsatz von grossen Batteriespeichern besteht darin, dass sie zwar die gewünschte Speicherflexibilität bringen, aber noch teuer sind. Wenn wir mit den Second-Life-Batterien von Stabl Energy die Technologiekosten senken können, ist das ein grosser Schritt. Das sind nur zwei Beispiele für technologische Synergien, die unsere interne Innovationskultur stärken und somit die eigene Transformation beschleunigen.

    Das Team um Ruth Happersberger analysiert pro Jahr rund 1000 Geschäftsmodelle von Start-ups.

    Wie findet Ihr Team ein Start-up? Oder werden Sie eher «gefunden»?

    Unser Team analysiert jährlich rund 1000 innovative Geschäftsmodelle. Besonders wichtig sind dabei unsere Netzwerke – wir sind eng mit Hochschulen, Investor*innen und anderen Unternehmen verbunden. Mittlerweile kommen auch viele Start-ups direkt auf uns zu – unser Netzwerk innerhalb der Venture-/ Start-up-Szene funktioniert sehr gut.

    Nach welchen Kriterien investiert Energie 360°?

    Wir investieren in Start-ups, die ein marktreifes Produkt oder zumindest eine sehr fortgeschrittene Technologie haben – und zwar innerhalb unserer strategischen Innovationsfelder. Wir suchen also Unternehmen, die die Energiewende vorantreiben, die Energieeffizienz neu definieren, die nachhaltige Mobilität revolutionieren und die CO₂-Entfernung beschleunigen.

    Letztendlich spielt auch das Gründer*innenteam eine zentrale Rolle: Wir müssen spüren, dass sie eine gemeinsame Vision verfolgen, flexibel auf Herausforderungen reagieren und bereit sind, kontinuierlich zu lernen.

    Wie verbinden Sie die Start-ups mit dem Innovationsbedarf von Energie 360°?

    Wir stehen in engem Austausch mit unseren Fachbereichen. Sie melden uns gezielt ihre Bedürfnisse, etwa im Bereich Speichertechnologien oder CO₂-Reduktion. So können wir gezielt nach passenden Start-ups suchen. Ein Beispiel ist das erwähnte Start-up Stabl Energy: Unser interner Bedarf an innovativen Speicherlösungen traf hier auf ein vielversprechendes Start-up.

    Investitionskomitee – wer entscheidet mit?

    Ruth Happersberger hat das Investitionskomitee als Vorsitzende interdisziplinär zusammengesetzt. So ist eine fundierte Bewertung der Start-ups gewährleistet.

    Weitere Mitglieder des Investitionskomitees sind:

    • Dr. Christian Schaffner, Leiter des Energy Science Center an der ETH Zürich. Er bringt wissenschaftliche Expertise ein und bewertet technologische Innovationen.
    • Dr. Monika Krüsi – Mitglied des Verwaltungsrats von Energie 360°. Sie stellt sicher, dass die Investitionen finanziell und strategisch sinnvoll sind.
    • Alexander Fries – Schweizer Investor mit über 20 Jahren Erfahrung im Silicon Valley. Er bringt wertvolles Wissen aus dem Venture-Capital-Bereich ein, insbesondere zu Skalierung, Marktstrategien und Vertrieb.

    Das Komitee prüft die Start-ups aus verschiedenen Blickwinkeln – technologische Machbarkeit, Marktpotenzial, finanzielles Wachstum, strategischer Fit – und entscheidet im Konsens.

    Gab es auch Misserfolge?

    Ja, natürlich. Manchmal entwickeln sich Start-ups langsamer als erwartet oder der Markt verändert sich. Ein Beispiel: Wir investierten in ein Start-up, das für Gemeinden eine innovative Smart-Grid-Lösung entwickelt hatte. Die Technologie war gut, aber in der Schweiz schwer umsetzbar. Später wurde das Unternehmen von einem deutschen Energieversorger übernommen, wo das Marktumfeld besser passte.

    Nach zehn Jahren – wie geht es mit dem Innovationsfonds weiter?

    Unser Erfolg zeigt, dass wir auf dem richtigen Weg sind. Deshalb machen wir weiter, reflektieren aber stetig unsere Strategie und Investitionskriterien. Auch neue Kooperationsformen mit anderen Investor*innen, Hochschulen und Start-ups sind denkbar. Kurz gesagt: Wir bleiben offen für Neues – so, wie es sich für einen Innovationsfonds gehört.

    Was haben Sie persönlich in den letzten zehn Jahren gelernt?

    Die Arbeit mit Start-ups und den Menschen dahinter inspiriert mich. Ich habe gelernt, wie wichtig Offenheit und Anpassungsfähigkeit sind. Die Dynamik im Start-up-Umfeld ist hoch, da ist Flexibilität ein Muss. Ich mag es, Brücken zu bauen – zwischen Start-ups, etablierten Unternehmen und Investor*innen.

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